Un article repris par Extrême centre donne un éclairage nouveau sur le (soi-disant) réchauffement climatique global. Je vous laisse juge.
Interview interessante dans The Australian de Jennifer Marohasy, une biologiste et ” senior fellow” du think tank Institute of Public Affairs de Melbourne. Concernant le réchauffement de la planète, elle dit que les nouvelles données montrent que depuis 1998 la température de la terre a baissé légèrement et que par rapport à 2002, ces temperatures ont atteint un plateau.
Quand on lui demande si ce genre d’affirnmation est controversée, elle répond que non, puisque le grand ponte du GIEC l’a reconnu. Les nouvelles données collectées par le satellite de la NASA Aqua, démontrent que les modèles informatiques utilisés par les chercheurs qui soutiennent la thèse du réchauffement climatique sont faux.
Extrait : Le satellite a été lancé en 2002 et il a permis la collecte des renseignements, non seulement sur la température, mais aussi sur la formation de nuages et la vapeur d’eau. Ce que tous les modèles de climat suggèrent c’est que, quand vous avez une augmentation du dioxyde de carbone cela produit un réchauffement qui entrainera plus de vapeur d’eau, et donc vous allez recevoir un feed-back positif. Ca c’est la version developpée par les modèles. Ce que les nouvelles données de la NASA du satellite d’Aqua montrent vraiment, c’est que c’est juste le contraire , qu’avec un petit peu du réchauffement, les processus météorologiques compensent, donc ils limitent vraiment l’effet de serre et vous recevez une réponse négative plutôt qu’un feed-back positif. “… Ces conclusions ne sont pas vraiment contestées par la communauté météorologique. Ils ont du mal à digérer les conclusions, ils admettent les conclusions, ils admettent que les données du satellite Aqua de NASA ne sont pas conformes à ce que les modèles prédisent et je crois qu’ils sont sur le point de reconnaître que les modèles ont vraiment besoin d’être révisés et que quand ils seront révisés ils montreront probablement une forte reduction des projections de réchauffement résultant de l’augmentation du dioxyde de carbone. “