La décapitation d'un nouvel otage, britannique, cette fois ci ne devrait plus laisser de doutes à tous les naïfs qui croient encore que les islamistes ne sont pas un danger. Il parait qu'il y en a encore. Fabius ou Juppé par exemple qui parlent de "religion de la paix" à propos de l'Islam.
Ils ignorent (ou feignent d'ignorer) que l'Islam fut fondé par Mahomet, chef de guerre arabe qui n'hésita pas à faire égorger tous les membres de la dernière tribu juive qui vivait à La Mecque !! Et que de son vivant, il lança ses armées à l'assaut de l'Empire Byzantin afin de propager la nouvelle religion.
Et l'on passera sur les phrases du Coran appelant aux meurtres des infidèles, des Chrétiens, des Juifs, des athés...
On me rétorquera que DAESH (le nouveau mot "politiquement correct" pour éviter de dire clairement islam) ne représente pas les Musulmans. D'ailleurs, 400 personnes ont manifesté publiquement leur opposition et indignation au meurtre de l'otage français devant la grande mosquée de Paris.
Sauf que cela ressemblait sérieusement à une opération de com ! Pour comparaison, il y avait des milliers de musulmans qui défilaient à Paris pour soutenir le Hamas lors de l'opération d'Israël dans la bande de Gaza.
Et pour suivre sur mon compte twitter quelques "musulmans modérés", j'ai pu ainsi lire des centaines de tweets antisémites depuis le mois de juillet. Mais je n'ai lu AUCUN tweet s'offusquant des meurtres des otages par les islamistes.
En fait, les 400 personnes qui scandaient "Pas en notre nom" cherchaient surtout à se démarquer, voire à se protéger d'éventuels amalgames. On notera d'ailleurs que les amalgames ne gênent pas la presse quand ce sont des gens de la Manif pour Tous qui manifestent. D'un coup d'un seul, tous les Chrétiens sont mis dans le même sac. Mais passons.
Et il est frappant de voir que parmi ces "Pas en notre nom", un certain nombre rajoutaient "mais si la France n'avait pas bombardé l'Irak, il n'y aurait pas eu de meurtres d'otages". L'un d'eux a exprimé ces propos sur Télématin le vendredi 25 septembre sans que cela ne dérange le journaliste présent.
En clair, toujours, les "modérés" sont d'accord pour dire qu'ils n'ont rien à voir avec Daesh, mais leur trouve souvent des excuses.
Pas en leur nom, donc.Quoique...