Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
23 janvier 2017 1 23 /01 /janvier /2017 10:54

Avec Benoit Hamon devant Manuel Valls, nous avons la confirmation que les Français de gauche continuent à croire au Père Noël ! Le revenu universel a beau être infinançable (à moins bien sur de le faire payer par ses salauds de riches et ses ordures de patrons), apparemment cela a séduit.

En fait, on la confirmation qu'il y a bien deux gauches en France : une, disons réaliste et une autre plus utopiste. Le tout étant dit gentiment parce qu'on a surtout deux visions du PS qui se détestent et on voit mal le perdant de dimanche prochain soutenir franchement le vainqueur.

Passons sur les querelles de chiffres : cette primaire a attiré nettement moins qu'à droite et nettement moins qu'en 2012. C'est donc un échec, mais la politique étant ce qu'elle est, tout le monde dira le contraire. 

 

On peut s'amuser de voir Montebourg et Hamon taper à ce point sur Valls, sachant que les 3 hommes ont travaillé ensemble, avant que les deux premiers ne deviennent des "frondeurs". Des frondeurs pas très courageux vu qu'ils ne sont jamais allés jusqu'à provoquer une censure du gouvernement. Et de l'autre côté, on a eu un premier ministre utiliser le 49.3 (au passage, une règle totalement démocratique puisque inscrite dans la constitution approuvée par référendum par les Français) contre sa propre majorité. Ambiance !

 

On peut s'amuser aussi de voir ces deux gauches se la jouer opposante l'une de l'autre. Si les idées semblent inconciliables, certaines n'en sont pas moins issues du même moule. Le courage reviendrait à que l'un ou l'autre quitte le PS pour rejoindre un parti plus à gauche ou plus à droite, mais l'appareil du parti n'est pas quelque chose que l'on quitte facilement. Il est bien plus simple de faire campagne avec un nom prestigieux sur les affiches qu'avec un micro-parti que personne ne connaît.

 

En attendant, ces primaires montrent bien que, comme à droite, elles exacerbent surtout les positions, les candidats, engendrent des réflexions brutales, des paroles qui seront forcément regrettées, des haines à venir. On nous dit qu'elles servent la démocratie, je pense plutôt qu'elles l'enterrent. Ou alors, il faudrait faire comme aux USA, avec les deux primaires se déroulant en même temps, éliminant  les candidats au fur et à mesure. Mais notre système de parti est incompatible avec cette façon de faire.

 

Sur Hamon, j'ai déjà dit tout le mal que je pense du personnage. Outre le fait qu'il ait appliqué sans réfléchir les stupides rythmes scolaires imaginés par Peillon (qui s'est pris une bonne claque hier), il représente surtout une gauche totalement à la masse, déconnectée des réalités, islamophile jusqu'à la dhimmitude la plus débile, anti-capitaliste (mais vivant très bien sur la société depuis des lustres).  Bref, si les électeurs de gauche le choisissent dimanche prochain, ils montreront qu'ils n'ont pas vraiment compris le monde dans lequel on vit. Ou plutôt qu'ils veulent un monde qui ne peut pas exister.

 

Car vouloir donner un revenu universel à tout le monde ne pourra que casser encore un peu plus l'idée d'effort, de travail, de courage ! On n'a rien sans rien, dit-on, mais Hamon veut faire croire le contraire. Et il a beau cracher sur Hollande, il ne fait que reprendre ce que ce dernier a fait en 2012 : promettre tout et n'importe quoi, s'afficher comme le candidat du "Moi pour éviter  l'autre" et espérer que les gogos marchent encore une fois.

 

Quand à Valls, je n'ai pas vraiment de pitié pour lui. Sa politique a été mauvaise et le fait qu'il soit arrivé deuxième montre bien que les électeurs de gauche ne lui ont pas pardonné le 49.3 ou certaines déclarations tapageuses. 

 

Par contre de là  à dire, comme osaient certains supporters de Hamon hier, qu'il a incarné une politique libérale, c'est vraiment prendre les gens pour des cons ! Il n'y a jamais eu de politique vraiment libérale en France, la tutelle de l'Etat est toujours aussi forte, s'affranchir de la sécurité sociale est quasi impossible et si notre pays était un tel paradis "libéral", pourquoi les grandes entreprises s'empressent d'y faire fuir leur siège social ?

 

Mais là aussi, ça marche ! Quoi de mieux que de fustiger la finance et les riches pour se refaire une virginité.

 

Quoiqu'il en soit, François Fillon aura face à lui soit un social-démocrate qui s'est planté sur toute la ligne soit un crypto-socialo qui ne pourra qu'enfoncer encore plus le pays. 

 

Pas sûr vraiment que la France sorte vainqueur en mai prochain.

 

Partager cet article
Repost0
2 décembre 2016 5 02 /12 /décembre /2016 06:43
Hollande pas candidat ? Bon débarras !!

Franchement, qui y croyait ? Malgré un bilan calamiteux dans tous les domaines (chômage, insécurité, perte de prestige de la France, islamisation du pays, éducation...), beaucoup pensait que François Hollande se représenterait quand même, envers et contre tous, histoire de faire un rempart de son corps au fascisme de Le Pen et à la brutalité du très libéral François Fillon.

 

Hé bien non ! Hollande n'ira pas. Bien sûr, il se la joue "noble sacrifice", insistant sur les dangers de l'extrême droite et de la droite, ces vilains épouvantails toujours pratiques dans une élection.

 

Et pour faire bonne mesure, il ne regrette qu'une décision : la déchéance de nationalité, pourtant l'une des rares qui ait eu un sens. Mais bon, Hollande reste Hollande, un auto-satisfait béat qui reste persuadé qu'il fut un grand homme politique.

 

Pourtant, il restera surtout comme la pire erreur de casting de la Ve République, un médiocre porté aux nues par une majorité de Français pour qui des médias bien pensants avaient demandé de voter, non pas pour son projet mais parce qu'ils se présentait contre Sarkozy, la bête immonde de 2007.

 

Si Hollande avait vraiment de la "grandeur", il aurait démissionné bien avant. Mais il a préféré aller au bout, détruisant la famille, l'école, la notion de pudeur d'un homme politique (virer une maîtresse par message AFP pour en prendre une plus jeune, fallait oser), livrant le pays à des islamistes qui embrigadent et envoient au casse pipe une jeunesse déboussolée et laissant le chômage de masse s'imposer.

 

Sur le plan international, la France est devenu un nain, soumis aux diktats imbéciles de Bruxelles, coupé de ses alliances naturelles et dont les forces vives (Hôpitaux, police, armée, éducation) sont totalement dévastées.

 

Enfin, sur un plan sociétal, les rythmes scolaires ineptes et les nouveaux programmes dégoulinant de démagogie ont achevé de mettre sur le carreau une Education National qui n'instruit plus depuis longtemps, mais qui a désormais vocation d'enrôler les enfants dans le politiquement correct ! Des enfants qui, selon un ministre de Hollande, n'appartiennent pas à la famille mais bel et bien à l'état !

 

La plupart des mesures de ce quinquennat ont été imposées sans aucune concertation, passant outre l'opposition populaire (le mariage pour tous, uniquement créé pour plaire aux lobbys gays) ou des intéressés (les rythmes scolaires, refusés par une majorité écrasante d'enseignants, mais voulus par une poignée de syndiqués qui ne représentaient qu'eux mêmes et une fédération de parents d'élèves - la FCPE - classée, ô surprise, à gauche). L'usage du 49-3, que dénonçait la gauche quand elle était dans l'opposition, a été l'arme de destruction massive du débat.

 

Bon débarras donc !! Qu'Hollande disparaisse dans les poubelles de l'histoire d'où il n'aurait jamais du sortir ! Les neuneus qui osent dire "On reverra son bilan à la hausse dans quelques années" se trompent et vous trompent ! Jamais le bilan de ce triste sire ne sera revu à la hausse. Au contraire, 2012-2017 restera comme une catastrophe ! 

 

Et que l'on ne nous mette pas Valls dans les pattes pour remplacer ce clown ! Il est largement co-responsable de ce désastre. S'il avait un minimum d'honnêteté, lui aussi renoncerait !

 

Mais bon, on a au moins dégagé le clown au casque !

Partager cet article
Repost0
28 novembre 2016 1 28 /11 /novembre /2016 19:49
La croix de la porte parole de Fillon irrite la gauche bien pensante

François Fillon a donc logiquement gagné la primaire de la droite. Et comment en aurait-il pu être autrement vu qu'il n'avait que 6 points à prendre pour être majoritaire ?

 

Sauf qu'il en a pris 22 et a donc humilié Alain Juppé qui aurait mieux fait de se désister dès dimanche dernier.

 

Mais l'orgueil étant ce qu'il est , le candidat de la gauche à la primaire a donc refusé de se retirer. 

 

Maintenant, à Fillon de jouer et de présenter un vrai projet de droite, pas un réchauffé du politiquement correct que l'on nous sert depuis des années, avec ses recettes plus sociales que libérales, sa drague des communautarismes et ses arrangements avec l'islamisme. Exit aussi on espère les soumissions aux diktats de la LGBT.  Adios les regards doux envers tous ceux qui estiment que la morale n'est qu'une vieille lubie bourgeoise. Et puis, fi des reculades face à des syndicats qui ne représentent qu'eux mêmes ! Car si Fillon devient président, cela sera bien avec les voix de droite et il ne devra rien, mais absolument à la CGT, à Mélanchon, au PS et cie !!

 

La campagne présidentielle a donc commencé. Et elle agace déjà la gauche moraliste !

 

Ainsi, Valérie Boyer, porte parole de François Fillon a osé apparaître sur France 2 avec une petite croix en or autour du cou ! Quel crime, diantre !!!

 

Aussitôt, les tenants de la gauche qui entend régenter nos vies sont montés au créneau ! Ainsi, Caroline Fourest s'est lâché sur Twitter, parlant de signes ostentatoires sur le service public ! Cette cruche a sans doute oublié que France 2 consacre une partie de sa matinée à des émissions religieuses. Mais bon, si les gauchistes étaient honnêtes, cela se saurait ! Cette polémique débile me rappelle celle sur le bandeau 100% Jésus qu'avait porté Neymar lors de la victoire du FC Barcelone en Ligue des champions en 2015 ! Là aussi, on avait eu droit à des cris indignés, des "et la laïcité, bordel ?"...

 

Mme Boyer a affirmé qu'elle ne retirerait sa croix pour rien au monde ! Hé oui, il existe encore des gens qui ont des convictions et qui n'en n'ont rien à foutre de la censure des moralistes à la petite semaine ! Espérons que Fillon regardera du côté de son porte-parole et non de celui de tous ceux qui lui demandent déjà de mettre de l'eau dans son vin !!

Partager cet article
Repost0
21 novembre 2016 1 21 /11 /novembre /2016 06:34

Comme 4 millions de Français, je suis donc allé donner obole aux primaires dans l'espoir de voir Nicolas Sarkozy se qualifier au second tour.

Comme je l'ai déjà écrit, je pense que l'ancien président a fait une erreur en revenant en politique. Les girouette françaises ne lui ont toujours pas pardonné son quinquennat (qu'ils avaient pourtant appelé de leur voeux en votant massivement pour lui) et n'ont pas franchement compris qu'avec lui, la crise de 2008 a été mieux absorbée que si Royal avait été au pouvoir.

Les gens de droite n'ont pas apprécié l'ouverture, comme si les talents pullulaient à l'UMP en 2007. Le vote de 2012 ne fut pas un vote d'adhésion pour Hollande, mais un vote de rejet de Sarkozy, même si le résultat fut bien plus serré qu'en 2007 et que les girouettes ont vite compris quel clown elles avaient mis au pouvoir, avec les conséquences que l'on sait.

Personnellement, je n'étais pas franchement pour les primaires. Ou alors, pas pour cette forme où tout le monde pouvait voter. Résultat, selon les calculs de certains sondeurs durant la journée, 10% des votants venaient de la gauche et 15 venaient du FN. Cela n'a pas aidé l'ancien président. Après tout, Juppé n'avait-il pas appelé tout le monde, gauche, droite, centre et cie à venir voter lors de cette primaire ? Sous-entendu, voter pour moi !!

Mais, estimant que la démocratie valait le coup et qu'il fallait donc en passer pour là, je suis allé voter près de chez moi et ait voté Sarkozy sans aucun état d'âme.

Espoir déçu donc. Certes, je ne le voyais pas en tête car, si chez les Républicains, ils arrivaient largement en tête, sur un échantillon plus large de Français, ce n'était pas le cas. Mais j'espérais un duel Fillon-Sarkozy, ce qui n'aurait pas manqué de piquant.

Pas de bol, si la victoire lors de la primaire de Fillon montre qu'une partie de l'électorat de droite veut un candidat de droite, la qualification de Juppé montre qu'une autre partie n'a toujours pas compris que le maire de Bordeaux est ce que l'on peut voir de pire en politique : un opportuniste mou, islamophile, dont les recettes ont largement fait les preuves de leur inefficacité et dont le politiquement correct est tout simplement écoeurant !

 

Juppé c'est, pour les 28% qui ont la mémoire courte, le type qui a baissé sa culotte devant les syndicats en 95, qui a avalisé toutes les décisions foireuses de Chirac durant 2 ans, qui a tenté le pari de la dissolution, qui a été inéligible pendant 2 ans, qui a été incapable de se faire élire député en 2007, qui aura plombé (sciemment) la campagne de Sarkozy en 2012, qui n'a de cesse que de faire croire qu'il est un grand homme alors qu'il n'aura été que le boutiquier de Chirac.

 

Mais les votants l'ont placé en 2e position. Tout comme les Français ont voté Hollande en 2012. On a beau leur expliquer que leur champion est un toquard, ils préfèrent céder aux sirènes du conformisme. Et le fait de voir NKM, qui est persuadée qu'avec 2,5%, elle a mis un mouvement en marche (il fallait se pincer pour entendre son discours de "victoire" hier !!) apporter son soutien à Juppé montre bien que ce dernier n'est qu'une pâle copie d'un Hollande sans cheveux.

 

Je n'ai pas vraiment apprécié les attaques de Fillon, son ingratitude envers celui qui l'a protégé durant 5 ans. Mais au moins, son programme est de droite, même s'il est loin d'être "ultra libéral" comme certains l'affirment. 

 

Je voterai donc pour lui dimanche prochain. Avec quelques regrets et le sentiment que ce n'est pas forcément le meilleur qui ira à la bataille présidentielle.

 

Parce que, contrairement à beaucoup, je ne suis pas dans l'euphorie de ceux qui estiment que l'alternance sera obligatoirement au bout. Hollande aurait sans doute préféré Juppé (facile pour lui de dire "Voter pour moi, l'original, plutôt que la copie") voire Sarkozy (le match retour pouvait à nouveau tourner à son avantage, vu que les médias nous auraient sorti le classique "Tout sauf Sarko" et que, en cas de débordement à droite par Marine le Pen, il se serait retrouvé dans la situation de 2002).

 

Mais si Fillon doit sortir vainqueur des primaires dimanche prochain, ce qui serait logique, à moins bien sur que les électeurs de gauche se déplacent à nouveau pour voter Juppé, sa victoire face à Hollande (qui sera candidat, je n'en doute pas) est loin d'être acquise.

 

Maintenant, j'espère que Nicolas Sarkozy va se retirer de la politique. La déception est grande, mais quand vous êtes rejeté par votre propre famille et vos proches, mieux vaut passer la main.

Partager cet article
Repost0
28 septembre 2016 3 28 /09 /septembre /2016 07:07

Alors que les USA entrent dans la dernière ligne droite du combat Trump-Clinton, combat dont j'espère que l'issue ne sera pas celle de 2008 ou 2012, à savoir la victoire démocrate d'une candidat corrompue et dont la politique serait une sorte de 3e mandat Obama, la France se prépare pour des...primaires.

 

Sauf qu'à la différence des USA, ce système est encore relativement neuf et ses rouages pas vraiment clairs. Ajoutons y une pléthore de candidats dès le premier tour et on a une belle cacophonie, même si au final, on devrait avoir un duel Juppé-Sarkozy.

 

Je ne suis pas vraiment emballé par cette idée de primaire à la "française". D'une part, parce qu'elle donne forcément un candidat par défaut. On l'a vu d'ailleurs aux USA avec Trump : choisi par le "peuple" républicain (et aussi un petit peu par les démocrates qui ont faussé les primaires dans certains états, le milliardaire leur semblant être un adversaire plus "facile" que Ted Cruz) mais ne faisant pas franchement l'unanimité au sein de son parti.

 

Là, on nous donne du "Juppé favori" avec près de 5 points d'avance. J'ai déjà dit tout le mal que je pensais du maire de Bordeaux et je n'ai pas changé d'avis. Sa gestion calamiteuse de 1995 à 1997 avec en point d'orgue cette défaite lors de législatives anticipées stupides (sans doute le plus beau suicide politique de la Ve République), son amour du politiquement correct (en 2008, le bonhomme balance du "L'Europe vote Obama" histoire d'être dans le sens du vent), ses magouilles, son islamophilie délirante... Juppé reste un membre de cette pseudo-élite, déconnecté de la réalité, ne connaissant pas le pays réel et vouant un véritable culte à l'eau tiède.

 

Le souci est qu'il peut l'emporter cette primaire. Après tout les Français ont bien élu Hoillande. Et après ? Peut-être fera-t-il illusion face à Hollande, même si ce dernier ne devrait pas se présenter puisque sa promesse de baisse du chomage est un échec cuisant, mais je ne suis pas sûr qu'il batte un autre candidat de gauche, le gens préférant toujours l'original à la copie.

 

Quand à un duel Juppé-Le Pen, pas sûr non plus que le coup du réflexe républicain marche une nouvelle fois. Mais bon, avec l'aide des médias...

 

Sarkozy ? J'ai déjà dit mes réticences sur sa nouvelle candidature (Sarkozy-candidat-une-fausse-bonne-idée) et je suis toujours cet axe. Les "révélations" qui se succèdent depuis quelques semaines ont pour seul but de le torpiller et pour le moment tout se passe comme prévu. La gauche a tout intérêt à avoir un mou comme Juppé comme adversaire qu'un pitbull comme Sarkozy. 

 

Pour le moment, ces primaires sont tristes à mourir ! Juppé ne dit rien mais monte dans les intentions de vote. Sarkozy voit ses anciens soutiens retourner leur veste tous les jours, le pompon étant celui de Fillon qui était nettement moins critique en tant que Premier Ministre; montrant que la place n'est pas si mauvaise ! Quand aux autres, ils font assaut d'idées creuses, de formules toutes faites et de simagrées visant à manger à tous les rateliers.

 

Même Sarkozy n'est pas toujours crédibles dans ses "promesse", car certaines, il aurait pu les tenir de 2007 à 2012, ce qui lui aurait sans doute évité la défaite, soit dit en passant. Mais comme je le pense toujours, c'est tout de même le candidat le moins pire de la droite. Et il sera toujours au dessus d'un président de gauche. La France ne se remettrait pas d'un nouveau mandat à la Hollande.

 

Triste primaire donc ! On attendait un débat, des idées, on se retrouve avec des rancoeurs, des déballages, des non-dits, un favori qui ne se la joue "vieux sage au dessus de la mêlée". Pour le renouvellement, on repassera.

Partager cet article
Repost0