Depuis que la loi travail a été lancée par le gouvernement, ses opposants n'ont de cesse que de répétér les mots "respect", "démocratie", "protection des faibles", ect... la dialectique classique d'une caste qui cherche surtout à conserver ses privilèges et se fout éperdumment des conséquences de ses "actions" sur la vie économique et sur l'image du pays.
Dans cette océan de tartufferie trône, comme souvent, la CGT ! La CGT, ce syndicat, en grande partie subventionné par l'Etat et dont les méthodes staliniennes donnent la nausée. Son gourou, Philippe Martinez, sorte de sosie du dictateur russe de sinistre mémoire, parcourt les plateaux télés pour expliquer que, lui, c'est la justice, la voix du peuple, le vrai respect de l'homme et autre pipeaux destinés à endormir les 33% de neuneus qui ont encore une bonne opinion de lui.
Mais dans le même temps, la CGT bloque la sortie des journaux, sauf ceux qui acceptent d'insérer la propagande communiste, pousse les manifestants à se radicaliser via des affiches anti-flics dont l'appel à la violence est clair et net et, cerise sur le gâteau, se permet de casser la faible reprise économique qui se profilait via des bloquages de raffineries. Que le péquin moyen se retrouve par endroit à traquer l'essence dont il a besoin pour aller bosser le laisse de marbre vu que le cégétiste de base s'auto-persuade de travailler pour le "peuple".
La vérité est qu'un des articles de loi va oter du pouvoir aux syndicats. L'article 2 prévoit pour les entreprises de négocier directement avec ses salariés, sans passer par la sangsue syndicale. Inacceptable pour des parasites qui ne représentent que 3% des travailleurs. Car si les gens se rendent compte qu'ils n'ont pas besoin de ces clowns pour négocier, pourquoi leur donner un quelconque pouvoir ?
J'entendais la semaine dernière qu'il fallait des syndicats plus forts qu'ils ne le sont à l'heure actuelle pour améliorer la vie sociale. Sachant qu'avec un taux aussi faible, leur capacité de nuisance est déjà énorme, j'avoue ne pas trop voir l'intérêt de leur en donner encore plus.
On me répond "Allemagne" où le nombre de personnes syndiquées est bien plus élevées. Je réponds qu'en Allemagne, on a affaire à des gens raisonnables, pas à des cons qui poussent les gens à brûler des voitures de polices, à saccager des magasins et à détruire l'économie d'un pays.
Je l'ai déjà dit, mais le jour où l'on arrêtera de financer la CGT , FO et autre SUD pour de bon , notre pays fera un grand pas en avant ! C'est de la dictature ? Mais ce qui se passe en ce moment, qu'est ce que c'est ?