17 octobre 2007
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L’environnementalisme est une idéologie totalitaire, donc imperméable à toute forme de réfutation. Il échappe à ce que Karl Popper appelle la « falsifiabilité ». Cela rend quasiment inutile toute tentative de faire des contre-démonstrations ou de parler en s’appuyant sur des faits. Je sais aussi que, comme diverses idéologies totalitaires antécédentes, l’environnementalisme a su recruter des scientifiques qui, vendant leur âme au diable, n’hésitent pas à recourir à diverses falsifications et autres travestissements pour servir ce qu’ils estiment être la Cause : ils ne sont pas les premiers à se comporter ainsi, le marxisme-léninisme a eu ses Lyssenko et ses Mitchourine, le nazisme ses médecins psychopathes et meurtriers façon Docteur Mengele.
J’ai néanmoins espéré que la vague montante finirait par se briser avant d’avoir fait trop de dégâts. J’ai pensé qu’en adressant des mises en garde aux gens encore non contaminés par l’idéologie, et qu’en rappelant le caractère profondément destructeur d’idéologies totalitaires passées, il serait possible de dresser des garde-fous. J’ai pris comme des signes encourageants le succès planétaire du livre de Bjorn Lomborg, « L’environnementaliste sceptique », et l’existence en France de quelques ouvrages émanant d’esprits libres tels que Claude Allègre, Cécile Philippe ou, plus récemment, Christian Gérondeau.
Mais la vague continue à monter. On ne peut, en France, ouvrir la radio ou la télévision sans entendre parler de « réchauffement global dû aux activités humaines », des méfaits du dioxyde de carbone, des bienfaits du vélo et des éoliennes. Un « Grenelle de l’environnement » a été organisé à Paris dont les résultats seront bientôt connus, et dont on peut d’ores et déjà attendre le pire. Des réunions planétaires sont organisées sous l’égide de l’ONU. Et maintenant, comme si tout cela n’était pas amplement suffisant, Al Gore se voit décerner le prix Nobel de la paix.
On pourra me dire que ce n’est pas la première fois que le comité Nobel se déshonore : parmi les prédécesseurs de Gore, on trouve Yasser Arafat, l’inventeur du terrorisme moderne (superbe contribution à la « paix »), et Jimmy Carter à qui on doit cette autre extraordinaire contribution à la paix qu’est le régime des mollahs en Iran. Néanmoins, c’est la première fois que le comité Nobel récompense quelqu’un qui prend la pose d’un faux prophète à l’échelle planétaire.
C’est la première fois qu’il salue l’entreprise d’une personne dont toutes les actions vont à l’encontre de la recherche scientifique dans des domaines cruciaux tels que la médecine, la chimie ou la physique, qui font eux-mêmes l’objet de prix Nobel. C’est aussi la première fois que le tenant d’un discours aussi radicalement et explicitement anti-humaniste se trouve ainsi mis en avant.
À l’échelle française, cela encouragera ceux qui voudraient que nous nous mettions tous à la pédale, que nous nous éclairions à la bougie, que nous mangions « bio », que nous arrêtions de voyager, que nous renoncions au nucléaire et, pourquoi pas, à l’électricité.
À l’échelle planétaire, on prétendra davantage encore « combattre » l’effet de serre en dépensant des milliards de dollars qui auraient été bien plus utiles pour donner à manger à ceux qui ont faim ou soigner ceux qui sont malades, et on condamnera davantage encore des millions de gens qui n’ont pas eu accès au progrès scientifique à une mort certaine.
Derrière les grandes cérémonies des gourous de l’idéologie environnementaliste, il y a une face cachée, et celle-ci est un grand crime contre l’humanité en train de se commettre.
Que les Européens confrontés à l’hiver démographique et à la montée de l’islam radical choisissent la voie du suicide collectif est ridicule et pitoyable. Qu’un ancien vice-président du pays le plus riche et le plus innovant du monde veuille entraîner son pays sur la voie d’un suicide identique est absolument lamentable.
Qu’au nom de lubies suicidaires de gens riches, on condamne tant de pauvres au désespoir et au néant est scandaleux et répugnant. Ce dont les plus pauvres sur la planète ont besoin, c’est de développement économique, d’innovations technologiques, de sources d’énergie performantes, de réfrigération, d’eau potable, pas d’idéologues.
(Une fois de plus, Guy exprime ce que nous pensons, nous autres néoconservateurs. L'original de cette page sur trouve sur Les 4 vérités)
J’ai néanmoins espéré que la vague montante finirait par se briser avant d’avoir fait trop de dégâts. J’ai pensé qu’en adressant des mises en garde aux gens encore non contaminés par l’idéologie, et qu’en rappelant le caractère profondément destructeur d’idéologies totalitaires passées, il serait possible de dresser des garde-fous. J’ai pris comme des signes encourageants le succès planétaire du livre de Bjorn Lomborg, « L’environnementaliste sceptique », et l’existence en France de quelques ouvrages émanant d’esprits libres tels que Claude Allègre, Cécile Philippe ou, plus récemment, Christian Gérondeau.
Mais la vague continue à monter. On ne peut, en France, ouvrir la radio ou la télévision sans entendre parler de « réchauffement global dû aux activités humaines », des méfaits du dioxyde de carbone, des bienfaits du vélo et des éoliennes. Un « Grenelle de l’environnement » a été organisé à Paris dont les résultats seront bientôt connus, et dont on peut d’ores et déjà attendre le pire. Des réunions planétaires sont organisées sous l’égide de l’ONU. Et maintenant, comme si tout cela n’était pas amplement suffisant, Al Gore se voit décerner le prix Nobel de la paix.
On pourra me dire que ce n’est pas la première fois que le comité Nobel se déshonore : parmi les prédécesseurs de Gore, on trouve Yasser Arafat, l’inventeur du terrorisme moderne (superbe contribution à la « paix »), et Jimmy Carter à qui on doit cette autre extraordinaire contribution à la paix qu’est le régime des mollahs en Iran. Néanmoins, c’est la première fois que le comité Nobel récompense quelqu’un qui prend la pose d’un faux prophète à l’échelle planétaire.
C’est la première fois qu’il salue l’entreprise d’une personne dont toutes les actions vont à l’encontre de la recherche scientifique dans des domaines cruciaux tels que la médecine, la chimie ou la physique, qui font eux-mêmes l’objet de prix Nobel. C’est aussi la première fois que le tenant d’un discours aussi radicalement et explicitement anti-humaniste se trouve ainsi mis en avant.
À l’échelle française, cela encouragera ceux qui voudraient que nous nous mettions tous à la pédale, que nous nous éclairions à la bougie, que nous mangions « bio », que nous arrêtions de voyager, que nous renoncions au nucléaire et, pourquoi pas, à l’électricité.
À l’échelle planétaire, on prétendra davantage encore « combattre » l’effet de serre en dépensant des milliards de dollars qui auraient été bien plus utiles pour donner à manger à ceux qui ont faim ou soigner ceux qui sont malades, et on condamnera davantage encore des millions de gens qui n’ont pas eu accès au progrès scientifique à une mort certaine.
Derrière les grandes cérémonies des gourous de l’idéologie environnementaliste, il y a une face cachée, et celle-ci est un grand crime contre l’humanité en train de se commettre.
Que les Européens confrontés à l’hiver démographique et à la montée de l’islam radical choisissent la voie du suicide collectif est ridicule et pitoyable. Qu’un ancien vice-président du pays le plus riche et le plus innovant du monde veuille entraîner son pays sur la voie d’un suicide identique est absolument lamentable.
Qu’au nom de lubies suicidaires de gens riches, on condamne tant de pauvres au désespoir et au néant est scandaleux et répugnant. Ce dont les plus pauvres sur la planète ont besoin, c’est de développement économique, d’innovations technologiques, de sources d’énergie performantes, de réfrigération, d’eau potable, pas d’idéologues.
(Une fois de plus, Guy exprime ce que nous pensons, nous autres néoconservateurs. L'original de cette page sur trouve sur Les 4 vérités)