Ce 14 juillet à Nice, un individu a donc foncé avec un camion dans la foule sur la promenade, tuant 84 personnes avant d'être abattu par la police. 84 personnes innocentes venues voir les festivités de la fête nationale sont donc tombées au nom d'un djihad mené à la gloire d'un faux prophète.
Au delà des polémiques qui ne manqueront pas de survenir (quid du meurtrier ? de l'état d'urgence ? de la sécurisation des zones publiques...), on peut rapprocher ce meurtre de masse de celui perpétré à Bagdad il y a 10 jours et qui a fait près de 300 morts. Il est vrai qu'on n'en a moins parlé. Bagdad, c'est loin.
Dans les 2 cas, les nazislamistes s'en prennent à des gens désarmés et sans défense. Les soi disant guerriers d'Allah montrent, s'il fallait s'en convaincre, leur lâcheté et leur volonté de faire des victimes sans prendre de risque.
Durant la période 2003-2011, en Irak, les "insurgés" attaquaient rarement l'armée américaine, préférant tirer sur des marchés à la roquette ou balancer des véhicules piégés sur des files d'attente.
A chaque fois que le monde civilisé a opposé un vrai front de résistance aux nazislamistes, que cela soit en 732 ou lors des reconquista, ceux-ci ont reculé.
Les #, les Je suis machin ne servent à rien. Ils n'ont pas empêché les morts du Bataclan, les meurtres d'un couple de policiers, le massacre à Nice.
La source de ce mal se trouve dans quelque part dans les déserts lybiens, syriens, irakiens, dans la bande de Gaza, dans certaines mosquées radicales au Moyen Orient ou en Europe. Mais vu qu'il est désormais politiquement incorrect de désigner le mal qui frappe le monde depuis l'an 622, on devra s'habituer à vivre dans la terreur.
J'ai écrit il y a quelques jours que l'Euro avait été une sorte de parenthèse. Comme je regrette d'avoir raison !