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5 août 2009 3 05 /08 /août /2009 15:16
Tant la cruche va à l'eau qu'à la fin, elle se casse. Voilà ce qui arrive quand on balance du Obama à longueur de journée. Même le très obamaniaque Figaro s'y met. La suite avec cet article.

En six mois, il a donné quatre conférences de presse en direct à des heures de grande écoute : autant que George Bush en deux mandats. Il a mené pas moins de quinze débats avec les citoyens des petites villes d'Amérique dans les town hall meetings, enregistré plus d'une vingtaine de vidéos hebdomadaires sur YouTube, sans compter les innombrables discours, tribunes dans les journaux, interviews exclusives dans les émissions phares des chaînes, etc. Tant et si bien que lorsque la Maison-Blanche a promis qu'elle ne préparait pas de médiatisation pour le 48e anniversaire d'Obama, mardi, personne n'y a cru.

Avec une popularité qui s'effrite lentement - Obama recueille 54,2 % d'opinions favorables, contre 63,3 % en janvier dernier -, les grands réseaux de télévision commencent à éprouver une certaine lassitude. Obama à la place d'«American Idol» et autres shows populaires finit par coûter cher : 40 millions de dollars perdus en recettes publicitaires depuis janvier pour ABC, CBS et NBC, selon Mediaweek. D'après le Washington Post, les patrons des chaînes auraient même osé se plaindre discrètement auprès de la Maison-Blanche. D'autant que Rahm Emanuel, le directeur politique d'Obama, ne prend pas de gants avec eux, rapporte le journal. Lorsque l'équipe du président a décidé qu'une quatrième conférence de presse en direct s'imposait le 22 juillet dernier sur l'épineux dossier de la réforme de la santé, il a pris son téléphone et appelé directement les PDG des entreprises actionnaires (Disney et General Electric) des chaînes ABC et NBC. En plus «il n'y avait rien» dans la conférence, s'est plaint le vice-président de CBS, Paul Friedman. Ce soir-là, les chaînes n'ont réuni «que» 24 millions de personnes au lieu du double en février dernier.

Si l'aspect commercial semble primer, le malaise est aussi palpable face au contrôle obsessionnel de l'information par la Maison-Blanche. La chaîne conservatrice Fox a carrément refusé de diffuser la dernière conférence de presse, mais elle était bien la seule. «Cela demanderait un extraordinaire courage (de refuser)», reconnaît Paul Friedman, en suggérant que l'accès au président pourrait s'en trouver limité.

La relation n'est pas si facile d'ailleurs entre Obama et la «press corp» de la Maison-Blanche, cette petite coterie de journalistes qui jouit d'un accès quasi direct au président. Le correspondant de CBS a dénoncé auprès du porte-parole Robert Gibbs l'absence de spontanéité d'un town hall meeting organisé récemment en Virginie sur la santé, puisque les «simples» citoyens et les questions avaient été triés au préalable.

En clair, seul FoxNews joue vraiment son rôle et refuse de cirer les pompes de l'homme dont ne sait où il est né. Mais il est clair que la baudruche se dégonfle inexorablement. 

 
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5 août 2009 3 05 /08 /août /2009 08:42
On le sait, la Maison Blanche est prête à tout pour que passe sa fameuse "sécu" à l'américaine. Consciente que ses adversaires ne se laissent pas faire, comme dans  n'importe quelle démocratie, elle demande désormais aux citoyens américains de dénoncer les emails qu'ils reçoivent à propos de cette "réforme", en estimant qu'ils participent à une désinformation . Jugez plutôt du texte :

"Il y a beaucoup de désinformation qui circule sur la réforme des assurances maladie, allant du contrôle de vos finances personelles au contrôle de soins de fin de vie. Ces rumeurs circulent souvent juste en dessous de la surface, par voie de chaine d’email, ou par simple conversation. Comme nous ne pouvons pas surveiller tout ça, nous avons besoin de votre aide. Si vous recevez un mail, ou lisez quelques choses sur le web au sujet de l’assurance maladie qui vous parait suspect, envoyez le nous a : flag@whitehouse.gov."

On le voit, l'administration Obama devient de plus en plus socialiste puisque désormais, elle érige la délation comme principe. Bientôt, des procès publics pour ceux qui refusent la sécu US ??

(Merci à ExtremeCentre.org pour avoir levé cette info" 
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28 juillet 2009 2 28 /07 /juillet /2009 18:50

Dimanche 26 juillet sur Metula News Agency Guy Millière, dans un article intitulé "Obama. Sa vie. Son oeuvre", écrit : 
"J’ai remarqué, qu’au moment de l’élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis, nombre de ceux que je rencontrais se faisaient des illusions à son propos : certains pensaient qu’il se recentrerait, d’autres me disaient qu’il n’était ni antisémite ni antisioniste, ou que sa politique concernant le Proche-Orient ne serait pas très différente de celle mise en œuvre par George Bush. Je pensais que la meilleure démonstration de ce que je disais d’Obama serait administrée lorsqu’il serait au pouvoir. Et nous y sommes, hélas. Je l’ai dit récemment, et je le répète ici : la question n’est plus de savoir si Obama sera un Président désastreux, elle est de savoir quelle sera l’ampleur du désastre. Seuls ceux qui se crèvent eux-mêmes les yeux, ou (ce qui revient au même) se contentent des informations délivrées par les quinze ou vingt Pravda que compte la France peuvent encore ne pas voir.
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J’ai remarqué aussi que nombre de gens ne savent toujours pas qui est exactement Obama, dès lors que ce qui est publié sur lui en langue française est essentiellement hagiographique ; c’est donc aux fins qu’ils puissent disposer de réponses à toutes les questions qu’ils pourraient encore se poser que j’ai rédigé ces lignes. Barack Hussein Obama Jr. est censé être né à Hawaï en 1961, d’un père étudiant communiste musulman, Barack Hussein Obama Sr. - c’est parce qu’il y a un Barack Hussein Senior qu’il y a un Barack Hussein Junior -, qui a quitté sa compagne au bout de deux ans pour retourner dans son Kenya natal, et d’une mère sociologue gauchiste née au Kansas. Les faits, jusqu’à preuve du contraire, semblent indiquer, et c’est pourquoi j’ai utilisé le mot « censé », qu’Obama est en réalité né au Kenya : il n’a jamais produit de certificat de naissance prouvant qu’il est bel et bien né sur le sol américain, ce qui est pourtant obligatoire pour devenir Président du pays.
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A l’âge de six ans, sa mère ayant épousé un ingénieur indonésien musulman, Obama partit vivre en Indonésie pendant quatre ans, et il y fut inscrit sous son prénom et son nom de famille de l’époque : Barry Soetoro. La religion devant être indiquée sur les papiers, elle y figure. Confession : musulman. Comme sa demi-sœur, Maya Soetoro-Ng, l’a expliqué à une journaliste du New York Times : « Ma famille entière à l’époque était musulmane, ainsi que la plupart des gens que je connaissais ». Obama a passé, en Indonésie, deux ans dans une école musulmane où on étudiant assidûment le Coran, et deux ans dans une école catholique, où il était inscrit comme « élève musulman ». De nombreux témoins interrogés par le Los Angeles Times et le Chicago Tribune se souviennent qu’Obama se rendait très régulièrement à la mosquée le vendredi.
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En 1971, Obama fut envoyé par sa mère à Hawaï, où vivaient ses grands parents maternels, et il y a achevé ses études secondaires. Il se rendait alors aux cours du dimanche prodigués par la First Unitarian Church of Honolulu, qui peut sembler être une église chrétienne, mais qui était réputée alors surtout comme un lieu où se formaient des agitateurs. La First Unitarian avait des liens étroits avec une organisation appelée Students for a Democratic Society, dans laquelle œuvrait Bill Ayers, qui allait fonder, peu de temps après, le groupe terroriste desWeathermen. La figure paternelle qu’Obama s’est choisie alors, au temps de son adolescence, est un certain Frank : seul le prénom figure dans les livres signés Obama. Il s’agit, en réalité, de Frank Marshall Davis, auteur de quelques livres pornographiques et de textes publiés par divers journaux communistes. Frank Marshall était militant du Communist Party USA, financé directement par l’Union Soviétique.
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Obama entre à l’université en 1979. Il étudie à l’Occidental College à Los Angeles, puis à la Columbia University à New York, dont il sort diplômé en sciences politiques. En 1980 et 1981, Obama s’est rendu au Pakistan pour des séjours d’études, en compagnie de l’étudiant pakistanais, musulman très pieux, qui partageait sa chambre. L’entrée sur le territoire pakistanais était à l’époque interdite à un citoyen américain. Pendant ses années à New York, de son propre aveu, Obama assistait très souvent à des conférences organisées par Socialist Scholars Conferences : les orateurs étaient des agitateurs maoïstes, trotskystes, des membres du Parti Communiste américain, des « syndicalistes révolutionnaires », des agitateurs sociaux, et des représentants d’organisations noires radicales. Après un an et demi passé à s’occuper de dossiers pour laBusiness International Corporation, Obama fut recruté, en 1985, par un regroupement d’églises noires de gauche et d’extrême-gauche du Sud de Chicago, afin d’y devenir « organisateur de communauté » et y jouer le rôle d’agitateur social.
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Parmi ces églises, il y avait la Trinity United Church of Christ de Jeremiah Wright. C’est à cette époque qu’Obama fut pleinement formé à l’agitation-propagande et à la prise de parole en public, par des disciples de Saul Alinsky, dans le cadre de l’Industrial Areas Foundation. L’un de ses formateurs de l’époque, Mike Kruglik, a déclaré qu’il avait d’emblée vu en lui un « maître de la manipulation». Obama devint rapidement formateur d’agitateurs sociaux lui-même. Il commença aussi à travailler avec l’association « d’organisateurs de communautés » d’extrême-gauche ACORN, qui mit en place une branche appeléeProject Vote, chargée d’obtenir, « par tous les moyens nécessaires », des inscriptions sur les listes électorales. ACORN et Project Vote existent toujours et ont été très actifs pendant la campagne de 2008. Ils font partie des grands bénéficiaires du « plan de stimulation » de l’économie, mis en place par Obama dès sa prise de fonction en janvier 2009.
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En 1988, Obama devient membre de la Trinity University Church of Christ.Jeremiah Wright devient son « conseiller spirituel ». La principale référence de Wright est James Hal Cone, auteur de "Black Theology and Black Power", l’un des livres fondateurs de la « théologie de la libération noire ». Obama noue des liens étroits avec l’ « activiste » noir musulman antisémite Khalid Abdullah Tariq al-Mansour, qui obtient, de la part d’ « activistes » des droits civiques, tels que Percy Sutton, des lettres de recommandation qui permettront à Obama de poursuivre ses études à Harvard. Al-Mansour s’occupe aussi du financement des études d’Obama auprès d’organisations wahhabites. Obama est diplômé de Harvard en 1991. Il y est devenu, pendant ses études, président de la Harvard Law Review, dans laquelle il publie deux articles qui viennent d’être divulgués : l’un et l’autre exposent que la puissance américaine est source de problèmes dans le monde, ainsi que des thèses contre l’arme nucléaire. La principale référence citée n’est pas Marx, mais le chanteur de reggae Peter Tosh.
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En 1993, Obama devient chargé de cours à l’Université de Chicago et juriste chargé des questions de fraude électorale et de droit du travail au cabinet Davis Miner. Obama s’est, entre autres, chargé de poursuites contre des banques qu’il a accusées de « discrimination raciale », pour n’avoir pas accordé assez de prêts immobiliers à des membres de minorités (voir par exemple Buycks-Roberson v. Citibank). Il a travaillé aussi comme avocat pour ACORN à cette époque. En 1995, Obama sera l’un des organisateurs de la Million Man March, conduite par le dirigeant de The Nation of Islam, Louis Farrakhan ; un homme qui a tenu régulièrement des propos favorables au nazisme et qui, lorsqu’il parle des Juifs préfère le mot hymies (youpins). Obama était alors très lié avec Bill Ayers, le fondateur des Weathermen, et son épouse Bernadine Dohrn, qui, l’un comme l’autre, n’ont jamais regretté leur passé terroriste. Il était très lié aussi avec Rashid Khalidi et Edward Saïd, activistes au service de l’OLP et « palestiniens» à plein temps.
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C’est au domicile de Bill Ayers et Bernadine Dohrn qu’Obama a lancé sa campagne pour devenir sénateur d’Illinois en 1995. De nombreux éléments indiquent que le livre signé par Obama en 1995, Dreams of my Father (Les rêves de mon père), a été rédigé par Ayers (cf. Jack Cashill, « Test shows Ayers penned Obama's 'Dreams' », wnd.com). Obama est devenu, en 1995, membre du Chicago Annenberg Challenge, fondé par Ayers, dont l’objectif était de former à « lutter contre l’oppression ». Si Obama est devenu sénateur d’Illinois, c’est grâce à la sénatrice sortante, Alice Palmer, qui, un an avant l’élection, choisit Obama pour lui succéder. Elue d’un district noir pauvre, située elle-même à l’extrême-gauche, membre d’organisations longtemps financées par l’Union Soviétique, Alice Palmer avait pensé détecter chez Obama un homme prometteur. N’ayant pu obtenir le poste qu’elle visait, Palmer voulut retrouver la position de candidate qu’elle avait laissée à Obama. Obama refusa et porta plainte contre elle pour « fraude aux listes électorales ».
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Alice Palmer fut évincée de la vie politique. Obama fut élu, en novembre 1996. Il déclarera plus tard : « J’aimais beaucoup Alice Palmer ». L’étiquette choisie par Obama en 1996 n’était pas celle du Parti Démocrate, mais celle du New Party, formé par ACORN et les Democratic Socialists of America, association composée d’anciens maoïstes, de trotskystes et de communistes. Obama bénéficia alors du soutien actif de Networking for Democracy, association d’activistes implantée en milieu étudiant et lycéen, fondée par Carl Davidson, lobbyiste pour le régime de Castro à Cuba. En 1998, alors qu’il était membre du Sénat d’Illinois, Obama est devenu l’un des dirigeants de la Joyce Foundation, groupe de lobbying en faveur de l’écologisme radical et de la « justice sociale ». C’est à l’université de Chicago qu’Obama a rencontré Rashid Khalidi. C’est avec l’aide d’Obama que Khalidi a fondé, en 1995, l’Arab American Action Network, groupe d’agitation pro-islamique et pro-palestinien.
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En 2003, lorsque Khalidi quitta Chicago pour prendre, à Columbia, la place laissée vacante par le décès d’Edward Saïd, un dîner d’adieu fut organisé, auquel participèrent et prirent la parole Obama et Bill Ayers. Obama a participé à diverses réunions de soutien au mouvement palestinien, entre 2000 et 2003, en compagnie de Khalidi et d’Ali Abunimah, vice-président de l’Arab American Action Network.Après avoir tenté, sans succès, de se présenter au Sénat des Etats-Unis en 2000, Obama est devenu conseiller d’un homme d’affaires nommé Robert Blackwell. Il fut chargé par celui-ci d’obtenir des subventions et des contrats de l’appareil politique de l’Etat d’Illinois. C’est au temps où il participait à des réunions pro-palestiniennes pour l’Arab American Action Network qu’Obama prit des positions très tranchées contre la guerre en Irak. En 2004, il rejoint pleinement le Parti Démocrate et se fait élire Sénateur des Etats-Unis. Il fut soutenu à l’époque par laRainbow Coalition de Jesse Jackson, l’église de Jeremiah Wright, le New Party et ACORN.
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Dès 2005 et son entrée au Sénat, Obama affiche son soutien à l’organisation d’extrême-gauche MoveOn (Bougez) et participe aux activités du Congressional Black Caucus. En décembre 2006, Obama est présenté à George Soros, spéculateur milliardaire très à gauche et très anti-israélien. La suite est connue. Toutes les associations, tous les soutiens, tous les réseaux qu’Obama a cultivés au fil des ans se sont placés à son service, avec le succès que l’on sait. Si quelqu’un trouve une trace de modération dans le parcours de Barack Hussein Obama, qu’il me l’indique, je serai curieux de savoir où elle réside. Obama n’est pas seulement le Président le plus à gauche de l’histoire des Etats-Unis. Il est surtout le seul Président à avoir eu des liens étroits avec une extrême-gauche révolutionnaire, avec des « activistes » pro-palestiniens, et avec des gens aux sympathies islamistes avérées, tel Al-Mansour.
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La première fois qu’Obama a mis les pieds dans une réunion de soutien à Israël, c’était lors de la réunion de l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee) pendant sa campagne électorale : lors de cette réunion, il a parlé de Jérusalem comme d’une « ville indivisible » et de l’amitié qu’il portait à Israël. On sait ce que sont aujourd’hui les positions d’Obama sur Jérusalem. On sait ce que vaut son amitié. Avec des amis comme lui, il n’est plus nécessaire d’avoir des ennemis".
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23 juillet 2009 4 23 /07 /juillet /2009 10:02
Un sondage effectué pour USA Today montre que la côte d'Obama aux USA est en baisse, puisque 55% des sondés lui font confiance. On en était à 63% au mois de juin. Pour la petite histoire, lors de ses mandats, W était à 56% au bout de 6 mois.

Les sondés reprochent au président américain sa politique économique tandis qu'un Américain sur deux est franchement hostile à son idée de sécurité sociale.

Bien entendu, ce sondage a été à peine commenté dans nos journaux. Il faut dire que l'obamania, elle, reste à un niveau élevé et pas qu'en France.

Petit exemple . Le quotidien Vosges Matin, à propos de l'anniversaire d'Apollo 11, titrait "L'Amérique d'Obama rend hommage aux pionniers de la lune". Jamais on n'écrivait "L'Amérique de Bush", sauf quand bien sûr on voulait titrer sur les aspects négatifs du pays. Pour Obama, c'est le contraire. Depuis qu'il a été élu, l'Amérique est devenu un phare. Les Iraniens écrasés par les Mollahs apprécieront.

Mais cette obamania ne s'étend pas qu'en France. Ainsi, dans la partie haute de la ville de Québec (Canada), vous pouvez rencontrer un tas d'artistes exposant leur travail dans la rue, comme j'ai pu le constater il y a deux semaines en me rendant sur la colline de l'hôtel Frontenac (un superbe bâtisse en forme de châteaux médiéval). Tous les dessinateurs y vont donc de leur portrait très élogieux du président ou du couple Obama. Amusé, je demande donc à l'une de ces dessinatrices si elle n'aurait pas un portrait de W en stock. Celle-ci me répond , horrifiée, que jamais elle ne s'abaisserait à une telle extrémité. Je pousse donc un peu le bouchon en demandant pourquoi alors Obama l'inspire tant. J'ai eu droit à une belle batterie de clichés "il restaure la dignité des USA après la honte des années Bush, il a un super charisme, en tant que portraitiste, je ne peux qu'être inspirée par un si beau visage". Véridique !! Je n'ai pas insisté , me permettant juste un "c'est vrai qu'un type qui fronce les sourcils quand on écrase la démocratie en Iran ne peut être que beau". L'artiste m'a regardé d'un air plutôt furieux et j'ai bien vu qu'elle m'aurait fait joyeusement mangé un de ses pinceaux. Inutile donc de rester là, il est interdit de critiquer le saint homme dans la belle province.

Les boutiques de touristes, celles où l'on achètent les T-Shirts "I Love Quebec" ou du sirop d'érable (petit conseil, allez plutôt dans un magasin Costco : le litre y est 8 fois moins cher que dans ces boutiques de voleurs) , le commandeur des croyants s'étale sur des sacs, des tasses ou des articles textiles. Ce n'est plus un président, c'est une rock star !!!

En allant sur l'île d'Orléans, je glane un des journaux principaux du Québec , Le soleil. Là, nous avons droit à un édito intitulé "cool" à propos de la fête de l'indépendance américaine. On aurait pu penser que l'éditorialiste appréciait les idées de liberté véhiculées par le 4 juillet 1776. Que nenni, le cool s'adresse à Obama. Et l'édito d'en rajouter une couche sur le fait que les Américains ont bien de la chance : ils ont le pays le plus puissant, le plus riche mais en plus, désormais, ils ont un président "cool", pas un "nono" (terme utilisé dans l'article) et un abruti amateur de bretzel. On a également eu droit à quelques lignes sur son habilité dans le tuage de mouches. J'ai du relire deux fois l'édito pour bien me rendre compte de son sérieux.

Dans le même temps, la mort de deux soldats canadiens amènent, comme en France, à la question "Faut-il se retirer d'Afghanistan ?".

France-Québec, même combat : Obama est un demi-dieu, la guerre pour la liberté ne sert à rien, Bush était un abruti.

Mais pendant que les obamaniaques affichent leur culte, les américains déchantent et se posent de vraies questions sur leur président.

Mais ne comptez pas sur la presse française ou québécoise pour en faire l'écho. 
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21 juillet 2009 2 21 /07 /juillet /2009 18:14
Les meilleures choses ont une fin !! Après 17 jours à sillonner le Québec et une petite escapade dans le Vermont (un état magnifique, tout comme le Québec) , me voilà de retour en France . Articles et photos suivront , don't worry !!

Je rentre donc en forme (quoique le décalage horaire, bof bof) pour apprendre que notre ami le commandeur des croyants Obama a des origines françaises et qu'il descend en ligne droite d'un huguenot français, Mareen Duvall (soit dit en passant, cela ne fait pas trop français du XVIIe siècle ce nom, mais passons) émigré dans le Maryland vers 1650.

On comprend donc mieux Obama et ses idées loufoques, son admiration pour la sécu française, son pacifisme bêlant, sa propension à se coucher devant les puissants et à brosser l'Islam dans le sens du poil... Tout ça, c'est Made in France !! Mais pas de panique, Obama est fier de ce passé tricolore estimant que "c'est quelque chose que nous allons chérir à l'avenir".

Ne soyons cependant pas si méchant, car les Mormons , qui ont découvert ce lien, montre que Obama est cousin au 8e degré avec ... Dick Cheney. Et ça, à mon humble avis, cela doit le gaver, le commandeur des croyants !! 


Je comptais vous parler d'Apollo mais devant cette découverte fondamentale, je m'incilne. Armstrong pourra attendre demain matin.
 
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24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 20:18
Franchement, on n'est pas vraiment sur que ce petit clip soit à la gloire du grand homme !! Faites vous une idée !!

Pour ma part , je trouve assez ironique le passage sur l'Irak ainsi que celui sur la dette qui explose !!

 
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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 06:55

Polls: 'Strong Disapproval' of Obama Growing



More Americans now "strongly disapprove" of Barack Obama's performance as president than "strongly approve," according to the most recent Rasmussen poll.

The Rasmussen Reports daily Presidential Tracking Poll for Monday shows that 33 percent of respondents "strongly approve" of Obama's performance on the job so far, but 34 percent "strongly disapprove."

Overall, 45 percent of voters disapprove, while 54 percent say they at least somewhat approve.

Obama fares better in the latest Gallup poll, which found that 33 percent of respondents disapprove of his job performance and 58 percent approve. But 58 percent is a new low — since taking office in January, his approval rating has averaged 63 percent, according to Gallup.

Gallup speculates that several factors could be behind Obama's plunging ratings: the administration's deficit spending; public concerns about the cost of Obama's healthcare reform plan; and his cautious response to the election protests in Iran.

In the Rasmussen poll, the percentage of voters who blame George Bush for the country's economic ills is down eight points from a month ago, to 54 percent, while 39 percent say the country's economic problems are a result of Obama's policies. "A growing number say it's Obama's economy now," Rasmussen observed.

Other Rasmussen poll findings include:

 

  • Only 46 percent of respondents think Obama is doing an excellent or good job with the economy.

 

 

  • Just 30 percent say they trust Obama to handle the economic crisis.

 

 

  • 60 percent of voters now trust their own judgment on economic issues more than the president's.

 

 

  • 51 percent of voters favor an across-the-board tax cut for all Americans to stimulate the economy.

 

 

  • 45 percent of voters trust the Republicans more to handle the economy, while 39 percent trust the Democrats more.

 

 

  • Half of those polled agree that the economy is getting worse, and only 25 percent think it is getting better.

 

 

  • A majority of those polled, 56 percent, have an unfavorable view of Democratic House Speaker Nancy Pelosi, and 34 percent have a favorable view. Just 27 percent have a favorable view of Senate Majority Leader Harry Reid.

 

 

  • But slightly more respondents have a favorable view of Republican Minority Leader Mitch McConnell than unfavorable.
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6 juin 2009 6 06 /06 /juin /2009 07:17
Trouvé sur Extrême Centre, cette petite parodie de l'affiche de Lawrence d'Arabie !!

L'Amerikastan a trouvé son prophète ! Il sera aujourd'hui en Normandie pour excuser l'Amérique de Roosevelt d'avoir osé débarquer en Normandie pour sauver l'Europe des ancêtres des Nazislamistes !!

 
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4 juin 2009 4 04 /06 /juin /2009 20:36
Le numéro du dhimmi Obama continue !! Après avoir dit que les USA étaient un grand pays musulman (les pères fondateurs se retournent dans leur tombe !!) , après avoir invité les Frères Musulmans, organisation terroriste , lors de son discours au Caire, voilà que la future ex-idole des médias (enfin, on espère, mais aux vues des commentaires sur le site du Figaro, entre autres, la lune de miel commence à tourner vinaigre entre les gens et le saint homme) a carrément critiqué la France, sans la nommer, à propos de  la loi sur le voile !!
Par trois fois , il a critiqué le fait qu'un pays occidental "dicte les vêtements qu'une musulmane doit porter" . C'est une attaque directe contre la loi de 2004 sur les signes religieuses ostentatoires. 

Autres perles de ce discours :  "on ne doit pas dissimuler l'hostilité envers une religion devant le faux semblant du libéralisme" ou "Il est important pour les pays occidentaux d'éviter de gêner les citoyens musulmans de pratiquer leur religion comme ils le souhaitent". Quelle sera la prochaine étape de cette escalade ? La reconnaissance de la Sharia ??

Samedi, Obama sera en Normandie pour assister à une cérémonie de libération d'un continent écrasé par le nazisme !! Il serait bien que les gens présents lui rappellent que l'islamisme, c'est le nazisme moderne !!

Mais gageons que nos biens-pensants n'oseront rien dire à ce traître à l'occident , vu qu'eux mêmes se sont lancés sur la même voie que lui !! 
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2 juin 2009 2 02 /06 /juin /2009 23:32
On avait des doutes depuis la campagne électorale, mais Barack Obama a un discours très ambigu sur l'islam. Elevé dans le cadre de cette religion jusqu'à ses 20 ans, Obama a une vision angélique (comme souvent) de la confrontation entre l'Islam et le monde moderne. Ainsi, il a déclaré à Canal + «les Etats-Unis et le monde occidental doivent apprendre à mieux connaître l'islam. D'ailleurs, si l'on compte le nombre d'Américains musulmans, on voit que les Etats-Unis sont l'un des plus grands pays musulmans de la planète», avant d'ajouter : «Ce que j'essaye de faire, c'est de créer un meilleur dialogue pour que le monde musulman puisse mieux comprendre comment les Etats-Unis, mais plus généralement le monde occidental, conçoivent certains problèmes difficiles, tels que le terrorisme ou la démocratie».

Que l'occident ait à mieux connaître l'Islam, pourquoi pas ? Mais a-t-on vraiment besoin de le flatter à ce point ? Dire que les USA sont un pays "musulman" démontre à quel point Obama vit dans un autre monde , ou pire, comment il a déjà abdiqué face à une religion conquérante. Ira-t-il jusqu'à parler, comme Chirac, des "racines musulmanes" de l'Amérique ?

La phrase sur les problèmes "difficiles" comme le terrorisme souligne aussi le décalage entre la vraie vie et la pensée obamienne : le 11 septembre est donc un problème difficile. Le mettre sur le même pied d'égalité que la démocratie est très dangereux, voire inconscient. Le terrorisme n'a rien à voir avec la démocratie.

Créer un meilleur dialogue ? Mais c'est ce que faisait Bush en allant prier dans une mosquée et en refusant de stigmatiser les musulmans qui acceptent la démocratie. Mais Bush appelait également un chat un chat.

Autre passage de cette interview : «Quelle que soit leur confession, ce sont ceux qui construisent et non pas ceux qui détruisent qui laissent derrière eux un héritage durable»,  «Je pense qu'il y a un véritable conflit actuellement entre ceux qui soutiennent que l'islam est irréconciliable avec la vie moderne et ceux qui pensent qu'au contraire l'islam a toujours su évoluer en même temps que le progrès».

Là aussi, des phrases creuses et politiquement correctes . Ceux qui pensent que l'Islam a su évoluer en même temps que le progrès se comptent sur les doigts d'une main . D'ailleurs les intellectuels musulmans pensent plutôt le contraire : que l'Islam n'a pas su évoluer, qu'elle refuse ce progrès. Et que cette opinion est partagée par une majorité de musulmans, hélas.

Il n'est que voir la montée de l'islamisme en Europe, les revendications identitaires de plus en plus fortes des communautés installées sur les territoires non musulmans. Elles sont , pour eux, non négociables et les Américains se rendront vite compte ce que ce genre de propos peut entraîner. Obama prend l'exemple sur les mauvais côtés de l'Europe.

Il continue donc un discours très ambigu et complaisant envers l'Islam, espérant mettre son pays à l'abri en flattant les musulmans. C'est une erreur grave. Une de plus à mettre au crédit d'un homme qui, jour après jour, détruit tout ce qui a fait l'essence même de son pays. 
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